Schématiquement, on oppose souvent d'un côté la philosophie analytique (Russell, Wittgenstein, Quine), née dans les pays anglophones et postulant que c'est en ayant une meilleure compréhension et un usage logique du langage que l'on peut résoudre les problèmes philosophiques, et d'un autre côté la philosophie continentale, regroupant des approches diverses, ayant dans l'ensemble poursuivi le rejet de la métaphysique, vers une « fin de l'Idéologie », comme la tradition herméneutique (Ricœur, Foucault) et postkantienne, la tradition phénoménologique (Husserl), l'existentialisme (Sartre), le marxisme, la déconstruction de Derrida et de Heidegger, le structuralisme, et la philosophie féministe. C'est Cicéron qui, avant eux, est considéré comme l'auteur romain qui a fait connaître la philosophie grecque à Rome, exposant en latin les doctrines des Grecs dès le Ier siècle av. Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». L'Histoire de la philosophie est l'histoire des théories et des doctrines qui ont été formulées par les philosophes à travers les époques. Dès le début de l’Antiquité se pose la question de l’histoire de la philosophie. Montaigne, dans ses Essais, qui auront une grande influence sur la postérité, se réclame du scepticisme des Anciens, et professe un relativisme culturel nourri à la fois par l'observation de son époque et par la lecture des auteurs grecs et latins ; en outre, sa pensée est marquée par un pessimisme en matière de possibilité, pour l'humanité, de parvenir à des connaissances certaines. et la philosophie analytique (positivisme logique, philosophie du langage ordinaire, etc.). nécessaire]. Dans l'Antiquité romaine, la philosophie dominante est le stoïcisme, hérité des Grecs. Le dix-neuvième siècle, période des systèmes ; 4. le dix-neuvième siècle après 1850, le vingtième siècle. C'est aussi l'époque où la métaphysique, l'Église et la monarchie vont subir les critiques de la philosophie des Lumières (XVIIIe siècle), Kant ruinant la prétention scientifique de la première par ses études sur les limites de la raison humaine[8], et d'autres philosophes s'attelant à combattre l'obscurantisme et la tyrannie par le projet de l'Encyclopédie (Diderot, d'Alembert) d'une part, et des traités politiques recommandant le libéralisme, la tolérance (Locke, Voltaire) et le républicanisme (Rousseau) d'autre part. C'est ainsi la scolastique, application de l'aristotélisme au christianisme, introduit par Thomas d'Aquin, qui constitue l'approche philosophique dominante dans l'Europe médiévale. et sont sans doute plus critiques que les "continentaux" envers les "classiques" . Les réflexions éthiques des anciens, poursuivies à l'époque hellénistique par les écoles épicurienne et stoïcienne, qui se prolongeront dans l'Antiquité romaine, mettent majoritairement l'accent sur la maîtrise des désirs et des passions, proposant un idéal de sagesse en vue de mener une vie heureuse. Différents courants s'opposent concernant la nature des idées et des connaissances humaines, tels que l'innéisme et le rationalisme (Leibniz, Malebranche) contre l'empirisme (Locke, Berkeley, Hume). Elle se poursuit au XVIIe siècle, où la science moderne fait son apparition, et où les grands philosophes sont aussi souvent des savants dans le domaine scientifique (Descartes, Pascal, Leibniz) ; ce sont alors les grandes approches de la connaissance qui distinguent les deux courants majeurs que forment le rationalisme (Descartes, Leibniz) et l'empirisme (Hume, Locke). Peut-on penser un devenir de la pensée qui ne soit pas autodestructeur ? Jean-François Revel suggère qu'elle aurait créé la spécificité de la mentalité occidentale[5]. La philosophie médiévale, en Occident, est très liée à l'Église catholique romaine, et les réflexions philosophiques ont souvent un fond religieux plus ou moins prégnant. Si l’on prend conscience de la diversité des systèmes et de leurs différences souvent irréductibles, il semble que l’on soit contraint de discréditer toute pensée et que l’on soit réduit au relativisme le plus extrême. La Renaissance, qui s'étend en Europe du XIVe au XVIe siècle, est une période marquée par d'importantes nouveautés scientifiques, techniques et politiques (grandes découvertes, invention de l'imprimerie, réformes religieuses, etc. J.-C. Avant même que le mot « philosophie » soit en usage, et qu'il désigne par la suite une discipline à part entière, on considère que la démarche intellectuelle des générations de penseurs dits « présocratiques[1] », étudiant principalement la physique, marque une rupture avec les discours mythologiques, religieux et poétiques qui existaient jusqu'alors, et forme à ce titre l'acte de naissance de la philosophie occidentale. C'est l'occasion d'un renouveau des réflexions sur la culture, l'éducation et la politique. Le XXe siècle se partage entre deux grandes approches des questions philosophiques : la philosophie continentale (phénoménologie, philosophie postmoderne, etc.) En savoir plus. Par ailleurs, le néoplatonisme, apparu au IIIe siècle av. La philosophie se développe alors suivant plusieurs domaines d'étude, comme une méditation sur la nature, l'âme humaine, l'éthique, la politique, et la connaissance. Pour l'histoire des doctrines philosophiques, voir, Devenir de la philosophie : tradition continentale et philosophie analytique, cohérence de la philosophie au point de vue de son histoire, merci d’indiquer ici les points à vérifier, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Histoire_de_la_philosophie_(discipline)&oldid=171289424, Article manquant de références depuis avril 2010, Article manquant de références/Liste complète, Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. De façon très schématique, les « rationalistes » affirment l'existence d´une connaissance indépendante de l'expérience, purement intellectuelle, universellement valable et indubitable, dont le modèle se trouve dans les mathématiques. Lieu(x) Paris. Cet article concerne la discipline nommée « Histoire de la philosophie ». La philosophie contemporaine, héritière de traditions multiples et contradictoires, se présente sous des formes variées. J.-C. L'épicurisme se prolonge également dans le monde romain, et c'est Lucrèce qui nous en a laissé le plus important témoignage, dans son long et fameux poème De natura rerum. Les indications des éditeurs mentionnent deux millions d'exemplaires, ce qui est au moins significatif de la curiosité du public pour le sujet. Responsable : Jean-Baptiste Brenet. Du XIXe siècle à nos jours, période que l'on considère en France comme l'époque contemporaine, des courants de pensée très critiques à l'égard de la tradition, et axés sur une approche économique et sociale des problèmes humains, font leur apparition (utilitarisme, socialisme, marxisme). Pour Aristote, la philosophie, malgré ses errances, marche toujours vers la vérité, car la réalité nous contraint à corriger les erreurs de nos devanciers[réf. La philosophie est donc plurielle, aucune méthode n'ayant réussi à s’imposer parmi les philosophes (comme la méthode expérimentale s'est imposée en physique et en chimie par exemple). Un récit vivant et éclairant pour tous ceux qui s’intéressent à la philosophie et à l’histoire des idées. La philosophie juridique de Grotius a également jeté les bases du droit international à travers son étude du droit naturel. La subordination et l'emboîtement, la vision et la division, pas seulement additives, mais par hiérarchie d'importance et lien de dépendance, la logique des idées, le plan presque architectural dans l'exposé de la pensée ou des faits s'incorporent alors définitivement aux habitudes mentales de l'Occident » (Jean-François Revel in, C'est notamment le cas de Descartes, qui tente de formuler des, le mot « biologie » apparaît simultanément en langue française et en langue allemande en 1802, respectivement dans l’. J.-C., est un mouvement qui tente de concilier la philosophie de Platon avec certains courants de la spiritualité orientale ; ses plus célèbres représentants sont Plotin, Porphyre et Proclus. Pour la discipline nommée « Histoire de la philosophie », voir. Cet argument fut utilisé très tôt par les premiers sceptiques ; le raisonnement est que l’on ne saurait décider dogmatiquement quel philosophe a raison, car il y en a toujours un autre qui a soutenu, qui soutient ou qui soutiendra le contraire. Il défendait une philosophie imprégnée de religion et représentant un individualisme radical qui dit comment l'on doit se comporter en tant qu'individu singulier dans les différentes situations concrètes. Sur cette question, Francis Bacon montrera, dans son Novum Organum, l'importance fondamentale de l'expérience pour établir des connaissances solides, ce qui en fait un précurseur du mouvement empiriste qui prendra une importance majeure au XVIIe siècle. Ainsi, par exemple, Adélard de Bath était un moine dominicain anglais, qui n'en opposa pas moins la « raison » face à l'« autorité » des maîtres en théologie. « Lhistoire est le processus … La dernière modification de cette page a été faite le 25 mai 2020 à 17:28. Elle constitue aujourd'hui un guide précieux et irremplaçable pour suivre l'histoire de la philosophie occidentale. l’histoire de la philosophie désigne tous ces courants de pensée qui caractérisent la philosophie au travers des âges. Aussi, la thèse que « la philosophie est la science objective de la vérité » est-elle paradoxalement admise par le relativiste. Selections. Pour Hegel, le relativisme est un prétexte ordinaire, qui permet de négliger le sérieux du travail philosophique. La formation repose sur deux piliers complémentaires : une offre de séminaires variée et équilibrée, une formation approfondie dans les grands domaines de la Philosophie et en histoire de la Philosophie, la réalisation d'un mémoire de recherche au cours de chacune des deux années de Master, sous la direction d'un des enseignants du Département. Il assure par ailleurs la vivacité de la dialectique et des travaux sur la logique, comme en témoignent par la célèbre querelle des universaux, ou celle entre nominalistes et réaliste. La philosophie du XIXe siècle se divise en différentes directions. John Rawls, quant à lui, se situe dans l'héritage des théories du contrat social avec sa Théorie de la justice, qui réfléchit aux conditions d'une société juste dans le contexte du libéralisme politique. Par exemple, Gerbert d'Aurillac, Averroès, sur les acquisitions ultérieures des connaissances. Au Moyen Âge, c'est principalement dans les monastères et en lien étroit avec la théologie que se déploie le discours philosophique, à travers la traduction et la discussion des écrits des Anciens, dans le monde chrétien et le monde arabe. Émile Bréhier, HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE, TOME II: LA PHILOSOPHIE MODERNE: 1. 24-1 by and Read this Book on Kobo's Free Apps. Pour avoir un point de comparaison, il faut savoir que les philosophes anglo-saxons sont plutôt formés d’après des problèmes philosophiques précis (langage, corps et esprit, etc.) Mais la philosophie moderne comprend aussi, dès la fin du XVIIe siècle, la philosophie des Lumières, attachée à dissiper les ténèbres de l'obscurantisme et de l'ignorance pour faire triompher la raison et éduquer les peuples, notamment à travers le projet encyclopédiste (D'Alembert, Diderot), mais aussi en dessinant une philosophie politique qui privilégie la démocratie, la tolérance et la souveraineté du peuple (Spinoza, Locke, Rousseau, Voltaire). Cette entreprise énorme, oeuvre d'un seul auteur, est une histoire classée, ordonnée des philosophes et des systèmes philosophiques. La fin du XIXe siècle est marquée par des penseurs qui bouleversent radicalement les anciennes doctrines (Nietzsche, Marx, Freud). Cette apparente contradiction est critiquée par Popper, mais Sartre tente dans la Critique de la raison dialectique de la résoudre en donnant un sens à la citation : « Ce sont les hommes qui font leur histoire ». Dès l'Antiquité tardive et le haut Moyen Âge, le néoplatonisme et la philosophie chrétienne établissent un pont entre la philosophie et la religion, et c'est en lien étroit avec la théologie et la philosophie gréco-arabe que se développe la philosophie médiévale, comme en témoigne l'importance de la scolastique à cette époque. C'est en partie ce qui explique que cette époque se caractérise d'abord, sur le plan littéraire et philosophique, par un vaste courant de réappropriation des auteurs anciens, qui place au centre de ses préoccupations l'acquisition du savoir pour que l'être humain développe pleinement ses facultés : il s'agit de ce qu'on appelle l'humanisme. Les progrès de la méthode expérimentale permettent en outre qu'une branche importante de la philosophie prenne à son tour son autonomie : la psychologie. Jusqu’à la philosophie critique •Le siècle des Lumières contre les préjugés et l’obscurantisme •L’Encyclopédie •Critique des institutions •Critique de la philosophie et de la connaissance: •Montesquieu 1689‐ 1755 •Voltaire 1694‐1778 ¾Méthode … Les premières traces historiques de ce qu'on appelle la philosophie apparaissent, en Occident, dans l'Antiquité grecque, avec les penseurs présocratiques, puis avec Socrate, qu'on considère comme le véritable père de cette discipline, et ceux qui ont suivi son sillage (Platon, Aristote, les écoles socratiques). Toutefois, à une époque de plus en plus marquée par les avancées scientifiques et par l'idée du progrès chère aux Lumières, le positivisme (Comte) va faire son apparition, condamnant la métaphysique au bénéfice des sciences ; Comte invente d'ailleurs une science nouvelle : la sociologie. Elle fut animée entre autres par Abélard, Albert le Grand et Guillaume d'Ockham. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Le XXe siècle est aussi celui de l'essor des théories psychanalytiques, qui ont fortement marqué les philosophes, avec leur initiateur Sigmund Freud, et son plus important continuateur en France, Jacques Lacan. Histoire de la philosophie - semestre 2. par exemple Anscombe) ou Guillaume d'Ockham. La réalité matérielle n'est qu'une image (ou imitation) mouvante et imparfaite de ces idées (comme les actes justes imitent l'idée de justice) : voir, des méthodes de la science moderne en train d'apparaître, Bibliographie de philosophie juridique et politique, arguments rationnels sur l'existence de Dieu, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Histoire_de_la_philosophie_en_Occident&oldid=177453327, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Les philosophes français se concentrent sur des réflexions politiques (, Le monde anglo-saxon reste fidèle à sa tradition pragmatique (partir du concret pour en dégager l'abstrait) avec, la philosophie hellénistique (après la mort d', 5/ La philosophie et l'Histoire, de 1780 à 1880, 6/ La philosophie du monde scientifique et industriel, de 1860 à 1940, 7/ La philosophie des sciences sociales, de 1860 à nos jours, 6/ Les radicalités existentielles, 379 pages, 7/ La Construction du Surhomme, 368 pages, 9/ Les Consciences réfractaires, 480 pages, 3/ La pensée moderne de Descartes à Kant, 1961, 4/ La pensée moderne de Hegel à Bergson, 1966, 3/ De saint Augustin à saint Thomas d'Aquin, 1992. Histoire de la Philosophie. La discipline poursuit son développement à l'époque hellénistique, en … Le siècle des Lumières, où apparaissent de nouveaux courants philosophiques qui font de la lutte contre l'« obscurantisme » et la « tyrannie » leur cheval de bataille (encyclopédistes, libéralisme, républicanisme), marque la fin de la période moderne. » Ce qui est remarquable, c’est que ce raisonnement suppose qu’il y a une vérité unique, autrement dit, son point de départ nie sa conclusion. Philosophie et Sciences humaines - 1er semestre. Professeur des universités. À l'issue de l'Antiquité, les thèses de Platon, et surtout celles d'Aristote, domineront la pensée philosophique, qui cherchera souvent à les concilier avec le christianisme, l'islam ou le judaïsme : ainsi Augustin d'Hippone et les néoplatoniciens, dans l'Antiquité tardive ; ou les philosophes arabes comme Averroès, Al-Kindi ou Al-Fârâbî entreprendront de concilier doctrine religieuse et philosophie hellénistique. Tu étudies TRAN-B100 Histoire de la philosophie à Université Libre de Bruxelles ? Celle de Bertrand Russel a le mérite d'être originale par contre on ne peut pas s'en contenter (on ne peut d'ailleurs se contenter d'aucune) et surtout il vaut mieux éviter de commencer par là. Ce courant de pensée, qui influence le structuralisme (Cercle de Prague, Lévi-Strauss), les entreprises de déconstruction (Heidegger, Derrida), la tradition herméneutique (Ricœur, Foucault) et l'existentialisme (Sartre), forme avec eux ce qu'on appelle aujourd'hui la « philosophie continentale ». Kierkegaard était en bien des points un précurseur de l'existentialisme. La scolastique a eu longtemps une image négative. Copier le lien. Hilke Aslan rated it really liked it Nov 22, Alexia Polasky marked it as to-read Mar df, Arjun Singh marked it as to-read Oct 05, English Choose a language for shopping. Si vous venez d’apposer le bandeau, merci d’indiquer ici les points à vérifier. est donc particulièrement suspecte, car c’est une cohérence fabriquée après coup. Les philosophes sont souvent de grands scientifiques (Pascal, Leibniz, Descartes), qui ne conçoivent pas la philosophie séparément de la science[6], ni des réflexions sur la religion[7]. Le but avoué étant de reprendre ce qui semblait le plus intéressant dans la philosophie de Kant et de la débarrasser de ce qui semblait être les restes d'une métaphysique dépassée. Les penseurs s'inspirent, à partir du XVIIe siècle, des méthodes de la science moderne en train d'apparaître (avec Copernic, Galilée et Newton), pour développer une philosophie davantage centrée sur la subjectivité de l'individu, placé désormais au centre de la construction des connaissances (Descartes, Locke, Kant). Nous nous arrêterons plus longuement sur saint Augustin qui, en reconnaissant les limites de la philosophie, demande à la foi d’éclairer la raison. Cet article concerne l'histoire des doctrines philosophiques. Amazon Second Chance Pass it on, trade it in, give it a second life. Contenu proposé par. Cette philosophie est, d'une part, l´héritière de la pensée antique en bien des points. Il est donc important à la fois de restituer les personnages et l'enchaînement des événements dans leur contexte historique, et d'avoir une vision panoramique qui n'ignore aucune des périodes de l'histoire, et s'attache à tous les aspects de l'histoire d'une période (art, sciences, techniques, modes de diffusion de l'information, croyances, politique...). La simplicité du raisonnement et sa clarté paraissent irréprochables. Deux points de vue opposés peuvent être dégagés : l'histoire de la philosophie est conçue soit comme marche vers la vérité, soit noyée dans le relativisme. Certaines lois logiques ont été connues dès le Moyen Âge (par exemple Pierre d'Espagne connaissait déjà ce qu'on appellera plus tard la loi de De Morgan) avant d'être ensuite oubliées. On entend par « philosophie moderne » celle qui s'étend sur ce que les historiens appellent l'époque moderne (1492-1789). Histoire de la philosophie. Durant de nombreux semestres, de 1823 à 1828, Hegel exposera son introduction à la philosophie devant ses étudiants berlinois. L’histoire est matérialiste : elle est l’histoire de la lutte des classes (économiquement définies) Le travail libère l’homme (reprise de la dialectique maitre/esclave) La division du travail et la loi de l’offre et la demande => on ne vend plus son travail mais sa force de travail (l’homme
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